POESIE

POESIE PAGE 4

ATTENTION

JE VOUS RAPELLE QUE CES PAGES SONT

DESTINEES A UN PUBLIC AVERTIT!!!!!

ET QUE LES TEXTES N'ENGAGENT QUE LEURS AUTEURS

UNE PIQÛRE D INCESTE

C’est violent une piqûre d’inceste..

Même si le loustic vous pique en douceur

C’est violent une piqûre d’inceste

Plus le temps passe plus grande est la douleur

Certains loustics sont impressionnants on les surnomme les cousins

D’autres sont plus âgés surnommés les grands-pères malsains

Après avoir été piqué on reste à jamais irrité blessé

Parfois ça laisse des cicatrices dans les tons « violé »

Des marques indélébiles à cause d’un débile

Qui arrive là par hasard avec son dard dare-dare

Il pue il sue il suce et susurre des mots des gestes et des bruits baveux qui nous horripile

Jouant d’une excitation jouissive et perverse qui scintille au fond de son regard

Alors on préfère baisser les yeux pour ne plus voir et on le laisse faire

Comme un vampire qui aspire en quelques minutes toute notre vie

On perd la notion du temps on ne sait plus ce qu’il y aura devant ni ce qu’il y avait derrière

Et on écoute gonfler notre cœur piqué par cet inceste répugnant

Haine et rancœur se cachant derrière la peur sans faire le moindre bruit

On survit entre l’espoir et la désillusion essayant de croire, de croire au pardon et au temps

Mais les années passent et la piqûre se transforme en une urticaire géante

Une urticaire gênante et gémissante qui ne cesse de cloquer, choquer corps et esprit toute une vie

C’est violent une piqûre d’inceste..

Même si le loustic vous pique en douceur

C’est violent une piqûre d’inceste

Plus le temps passe plus grande est la douleur

Plus grande est la douleur..
sylvie

Accepter chez les autres ce que l'on refuse de soi

Parce qu'à force de se descendre on se croit bien bas

La tolérance est un maître mot

Pourquoi retenir sa nature comme derrière des barreaux?

Pendant que de leurs fardeaux on les libère,on reste dans le noir

Un sourire automatique le jour,des larmes seule le soir

Ecrasée par un immuable sentiment

Celui de rester seule face au géant desespoir

auteur : cocomoa

Dans ma grotte sombre je me terre

L'obscurité règne, étouffante mais recherchée

C'est pour tout me cacher que je m'en sers.

Bien trop tôt douleur donc réalité vient me rattraper

Obscurité pas assez renforcée,

Poisons multiples seraient nécessaires...

Mais l'instinct indéfini vient me préserver,

D'une noirceur d'âme permanente et déchaînée

auteur : cocomoa

Je vais mal,demandez-vous ce qui ne va pas

Passé, présent, futur sont de douloureux jours

La tristesse est la vie, le mal me tourne autour

Je crois exister, la souffrance me le prouve

Chaque jour m'aggresse par le souvenir du vautour

Je reste avec le cauchemar, je ne sais

Manipuler est un art, il reste mon malheur à jamais

auteur : cocomoa

Maladie

Connaissez vous cette maladie,

Que l’on cache, qu’on ne peut avouer,

Car il ne faut pas que les autres sachent

Ce que vous enfouissez en vous

Cette petite bête qui vous ronge

Jusque dans vos songes

Toutes les nuits vous criez

Tous les jours vous pleurez

Et vous avez peur

Vus avez peur

De cette ombre noire

Qui s’est accaparé de vous le soir

Cette maladie qui vous obsède

Vous demandez de l’aide que vous n’obtenez

Cette maladie a un nom

Un nom que l’on ose nommer

Un nom que l’on ne veut prononcer

De peur d’être mal regardée

De peur d’être du doigt montrée

Cette maladie peut être mortelle

Cette maladie qui est telle

Que tu t’enfouies sous un casque

Que tu te caches derrière un masque

Cette maladie appelée dépression…

blandine

haine....

Où que tu sois

je serais trjs là

j'aurais ta peau

tu n'est qu'un salop

tu as voulu me tuer

tu m'as violée

A toi de mourir

A moi de vivre

Je ne serais pas libre

Toi,tu ne seras pas au paradis

Qui t'as donné le droit

de t'en prendre à moi

tu n'est qu'un lâche

j'en fais la promesse

un jour, tu connaitras l'enfer...

Que Dieu me pardonne d'avoir parler ainsi auj

Mouette (05/02/2005)

Un soir de mai

Mes yeux m’ont raconté

ce qu’ils ont lu ce soir de mai.

Mes yeux m’ont raconté

qu’ils ont pleuré ce soir de mai.

Ma joue ma raconté

ce qu’elle sentit ce soir de mai.

Ma joue m’a raconté

qu’elle cru en ce soir, se noyer.

Mes doigts m’ont raconté

ce qu’ils tremblé ce soir de mai.

Mes doigts m’ont raconté

qu’ils ne pouvait se redresser.

Les yeux se sont vu couler,

la joue s’est inondée,

les doigts ont essuyé,

Ces larmes qui défilées.

Mon cœur m’a raconté

qu’il a saigné ce soir de mai

Mon cœur m’a avoué

qu’il est touché à tout jamais.

Ces maux de ton enfance,

ces maux de mon silence.

Mes mots remplacent ces maux

qui te remercie de cette confiance.

Auteur : flottille

FATALITE

Le Poids des maux,

La soif de haine,

La vengeance

Sans indulgence.


Seule sur une île,

Mon cœur d’exil

Non idyllique

Reste fragile

Le temps qui passe

Et je trépasse,

Dans la violence

Ma vie s’efface.

Tant de questions

Et d’abandons

Comme une poison,

C’est ma prison.


Miroir de l’âme

Et noir corneille,

Pays des larmes

Dans mon sommeil.

Pourquoi survivre

Si c’est souffrir !

Et si mourir

C’était guérir ?

Auteur : plume

mon enfants tuer

par l'agresseur de mon coeur

j'ai jamais avouer a personne

que j'etais enceinte

enceinte de mon agresseur

qui a tuer ma vie

qui a fait de ma vie sa vie

qui me retient prisonniere de toi

de lui, de sa vie et meme de la mort

C’est pas facile de vivre comme ça

Je pense à toi

Je m’ennuie de toi

Tu m’as fait vivre des choses incroyables…

Mais je suis tombée enceinte…

Un enfant qui aurait eu un coté de toi..

J’ai pris une décision.. de pas le garder..

Mais c’est mon enfant… Que j’ai tuer

malgré tout…..Même a ca je t’aime….

Et je souffre.. parce que je ne peux pas t’oublier

Oublier que j'ai tuer…mon enfant….

C’est pas a 13 ans ..que tu a un enfant…

Mais pouvoir retourner dans le passer….

Je le garderais!!..sans hesiter

mais a penser a ca non

parce que tu me tuerais

je souffre de la vie a cause de toi

je peux pas confier mon enfant au diable

tu es le diable de ma vie

l'enfer de mon existence

alors que je m'suis faite avorter

auteur : line

A toi

qu as tu dans le coeur

le mien est rempli de pleurs ,de rancoeurs

as tu bonne conscience

je ne vois en la vie aucun sens

tu as l 'air serein

je ne vis que dans le chagrin

on te fait confiance

je subis la méfiance et vis dans l 'errance

tu as tous les droits ,la loi

dans un océan de larmes je me noie

pendant que tu profites de ta vie

la mienne je la détruit

tu peux faire ce que tu veux

moi ,je n 'ai qu 'un seul voeu

celui d'échapper à ma réalité,de m'éloigner

ta perversité a tout gaché

elle m 'a anéantie de nombreuses années

qui a mes yeux étaient sacrées

je ne dis rien ,je garde tout au fond de moi ce secret

qui finira malgré moi par me ronger

j aimerais de ce fardeau etre délivrer

Echapper à mes tristes pensées

Si tu savais comment je te hais

Ce soir est comme un autre

Jécris mon dégout

Celui d'etre parmi vous

En attendant ma délivrance

Je vis dans l 'impatience

de savourer ma vengeance

pour toute ma peine,ma haine

elle sera si cruelle

que tu ne pourras plus exister sans te demander

quel est sur cette terre ton interet

pour toutes les larmes que j 'ai pu vérsées

Becourt

Salie

Etait-ce de l’amour, Etait-ce de la haine,

Toutes ces humiliations subies ? Lui seul le savait.

Un enfant qui meurt, Et moi qui souris

Moment de délivrance si longtemps attendu.

Je ne veux plus pleurer,

Avoir peur de la vie,

Je ne lui ferai pas ce plaisir.

Mais le voit-il de là-haut

Qu’il m’a marquée à vie…

Comme une trace au fer rouge il a gravé son nom

Dans mon âme d’enfant

Souillée de sang, recouverte de boue

La mort a voulu me venger

N’aurait-elle pu attendre

Que je lui dise en face, que je crie ma colère

Comme un lâche il s’est enfuit

Pour dire pardon il est parti

J’ai peur pour les anges comme pour tous les enfants

Qui croient que les bonbons effacent la souffrance

Où étaient mes parents ?

Où étaient ces adultes sensés me protéger

M’avaient-ils oubliée ?

Souvenir incessant…

Devant moi un jeune fou

A moitié dévêtu

Etouffe mes cris et sèche mes larmes

Etait-ce de l’amour

Etait-ce de la haine ?

Comment savoir ?

Sally49

Je pleure sur mon sort,

Sur ce foutu destin,

Qui fait que je suis forte,

Qui fait que je survie.

Serais-je la même sans lui,

Dois-je lui dire merci ?


A travers mes larmes

J’aperçois le bonheur.

Mon cœur d’enfant reste à jamais meurtri

Sally49

elle en peut plus de sourire,

elle en peut plus de mentir,

elle en peut plus de souffrir,

elle a envie de mourire.

elle leur fait croire à tous qu'elle va bien,

alors qu'au fond il n'en est rien...

tout n'est que facade,

et les choses s'enchainent en casacde.

elle a envie de pleurer,

elle a envie de tout lacher,

elle ne voit pas à qui parler,

elle ne voit pas qui pourrait l'aider.

qu'est ce qui pourrait encore la sauver?

elle a tout pour tout quitter...

car lentement elle ne cesse de sombrer,

elle n'a plus la force de lutter...

koala

voici trois poémes d'Agnés :

j'ecris avec mon sang

pour me soulager seulement

cette envie de me faire du mal

pour prouvrer que l'on est normal

cette douleur je ne la ressens plus

l'habitude a pris le dessus

c'est la haine, le désespoir

qui pousse a se mutiler tard le soir

une envie de montrer sa souffrance

en se cachant sous ses manches

je pleure mon sang

seule, en m'isolant

la peine en silence

un manque de confiance

je me libère

pour me taire

cette plaie ne se referme plus

la force du vécu

je regarde avec mon sang

un cri de desespoir

que personne n'entend

le seul moment ou l'on se sent bien

seul et unique,sur mon chemin

je veux me couper jusqu'a mourir

ce réve que je me crée

pour ne plus souffrir

auteur : agnes

Dans le noir

je raconte mon histoire

la nuit tout est calme

même en cherchant

au profond de son ale

tout est invisible....

j'aimerais etre invisible, la liberté

plus personne pour me juger

que par ce que je suis vraiment

réél changement.

mais une lumière surgit

que je cherche et je fuit

un appel au secours?

j'ai peur, tout change de sens

le soleil se lève

dans mon monde noir de souffrance

je sors de ce rève

le soleil me brule les yeux

mais je résiste, de cette vie

mon visage n'est plus affreux,

il s'eclaircit

je suis heureuse! Et je crie!

essayant d'oublier ma vie

pour tout recommencer

dans le soleil, finit minuit!

la nuit n'est à présent faite que pour dormir

auteur : agnes

Je me retourne, petrifiée

je sens une lame

un cri sec et glacé

je ne suis plus femme

je me sens partir

je pleure mes dernieres larmes

je ne peux plus me sentir

mon âme n'est presque plus la

ma gorge se ressere

je ne pense à rien

allongée à terre

je perd tout mes biens

je lutte, cette guerre

n'est pas finie.

je suis pale

mes yeux se referment lentement

je ne sens plus la douleur

je suis liberée de ce mal

entassé avec le temps

je n'ai plus peur

auteur : agnes

Mon illusion

J’ai réussi à oublier

Cette vulgaire brutalité

Mais je ne peux pas te pardonner

De m’avoir ainsi souillé…

Tant de maux

Pour si peu de mots

Retourne dans le noir

Tout au fond de ma mémoire

J’ai réussi à oublier

Cette vulgaire brutalité

Mais je ne peux pas te pardonner

De m’avoir ainsi souillé…

Une simple action,

Dénudée de raison

M’a fait perdre cette illusion

Que j’avais de la défloraison

Aujourd’hui je peux sourire

Mais je n’ai plus la force de rire

J’veux r’trouver cette innocence

Et oublier ta présence…

J’ai réussi à oublier

Cette vulgaire brutalité

Mais je ne peux pas te pardonner

De m’avoir ainsi souillé…

Jean-Philip

La régénérescence

La vie qui peu à peu s'en va fait perdre espoir

A la personne qui est là effondrée sur le parvis

Mais qui enfin délivrée de son ancienne peau

De son ancienne effervescence

Qui lui pollue l'existence,

Qu'elle a essayé parfois maintes fois à détruire de différentes façons,

Et n'ai pas pus y arriver

Elle laisse les vautours

Faire le travail

Et pendant ce temps

Regarde et se confine dans la partie qu'ils ne peuvent atteindre

L'esprit qui se trouve dans le squelette

Ou quelque part

Ou nulle personne ne peut aller

Sauf les âmes meurtries

De différentes façons

Les trouvent à ce moment là des oiseaux

Autres que des rapaces

Mais des oiseaux de bonnes augures

Qui leurs permettent,

D'entrevoir la vérité

Et une lueur d'espoir

Qui mêlées avec la survie,

Font une essence de vie

Inespérée

Pour ce corps inerte et est jonché sur le parterre

Du froid qu'il était envahi

Disparaît pour ensuite

Laisser place à une imperceptible chaleur

Qui va ensuite réchauffer le corps,

Puis donner naissance à une autre personne

Qui elle saura ce que c'est que la richesse de la vie.

auteur : jojolapin

Les vautours

Quand la mort vient prendre une vie,

Les odeurs que dégagent

La décomposition des chairs

Attirent les vautours.

Ils viennent, rodent,

Comme pour vérifier qu'ils peuvent prendre les restes sans être déranger par d'autres,

Ils ne viennent comme des lâches en prenant bien soins

De déchiqueter monceaux de leur proie

Pour vérifier timidement qu'ils ne risquent rien

Puis en prenant de l'assurance

Ils coupent des morceaux de plus ne plus gros

Puis ils en attirent de nouveaux

Puis une nuée est bientôt

Sur la proie jusqu'à ce qu'il ne reste plus que le squelette

Qui lui végète,

Parfois pendant des années

Mais les vautours et la mort

A oubliés quelques choses

C'est que le squelette évolue et peu à peu une fois laisser tranquille

Remet une carapace ou évolue

peu à peu des monceaux

Puis des morceaux de chairs

Puis les organes

Jusqu'à reprendre de vie

Mais pas du même aspect

Mais une espèce connue de tout le squelette que l'on n'a pas pus détruire par la vie et qui a une force

Cette force s'appelle

La survie la régénérescence des morts avec la légèreté des anges

Et une force qui ne peut plus être atteinte

Quand la carapace s'atténue,

A disparaître

Par le déroulement des années

Les vautours reviennent

Mais ne peuvent plus prendre leur dîner

Car cette nouvelle race est indestructible

A prendre et à déchiqueter

auteur : jojolapin

Une renaissance

Longtemps, a l'aube de ma vie,

Je fus une jeune terre fertile,

Et d'une culture joyeuse, d'une harmonie de couleurs vives

Avec un climat fragile

Que je cherchais à améliorer,

D'un travail d'arrache pied.

Toi, Tu es venu,

Pour m'apprendre

Ou du moins, je le croyais

A fructifier un climat plus constant

Pour que ma végétation soit plus vivace,

Et grandisse dans une quiétude,

Et vieillisse dans la sûreté de la vie.

Mais fausse idée ou fatalité,

Tu t'es servi de mon innocence

Et de ma jeunesse qui manque d'expérience,

Pour te jouer de moi,

Et arriver à tes fins, a toi

Comme un astéroïde dévastateur,

Tu es venu

En trahissant la confiance

En paralysant ma pensée extérieure

Et détruire par l'intérieur

mon inconscience, mon çà

Toute cette stabilité qui aurait pu accroître

Par ton attitude et application professionnelles

Tu as tout mis en l'air

Et y faisant un trou

Et y pénétrant pour aller empoisonner mes racines

Peu à peu,

Jour après jour

En laissant le temps d'agir

Le poison que tu as transmis à ma terre fis son effet

Et j'ai vu toutes mes racines se détruire

Et delà empécher la végétation à pousser,

Et de là, la laisser pourrir

Pour qu'elle n'existe plus,

Jusqu'à laisser une terre aride, privée de toute vie,

Avec un climat devenu froid,

Isolée de tous et de la vie oubliée de tous

Ton poison à mis 18 ans à agir

Et un jour, l'endroit meurtri s'est réveillé

Par une douleur de même nature mais pour raison différente

Qui remis en fonction tous les souvenirs, De cette terre jusqu'à la sève des plantes

Mais à mis 6 ans pour voir le désastre commis sur cette terre

Et le travail à faire

Pour tout reconstruire

Et remettre de nouvelles plantes et de nouvelles couleurs

Et de remettre en état le climat qui y régnait

E qui devait évoluer

En faite tout reste à construire

Pour cela il faut laisser quelques yeux regarder dedans

Et l'extérieur aux vautours

Pour qu'ils récupèrent les quelques restes de la végétation ancienne,

Pour nettoyer et re plantés sans cesse et essayant de nouvelles pousses

Qui seront peut être les bonnes,

Et si non,

Les redonnés aux vautours de la vie

Et en essayant ainsi de suite

Toutes les espèces de pousses qui pourront exister sur cette terre

Pour ensuite trouver les bonnes

Qui seront une végétation originale,

Avec toute l'histoire des autres

Et qui auront des racines tellement fortes qu'elles seront indestructibles

auteur : jojolapin

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