POESIE

POEMES DE NONO

ATTENTION JE VOUS RAPELLE QUE CES PAGES SONT DESTINEES A UN PUBLIC AVERTIT!!!!! ET QUE LES TEXTES N'ENGAGENT QUE LEURS AUTEURS

A ces étoiles

Je rêve d'éteindre les étoiles

je rêve d'étreindre leurs éclats

sans un sursaut ,elle me delivrera

toutes leurs couleurs,toutes leurs lumières

Je leur donnerai ,sens à mon âme

je leur donnerai ,corps à mon coeur

Pour que jamais elles ne s'éteignent

A ces étoiles qui se meurent

Je courberai mon corps pour élever

les naines

Je traverserai le monde pour les rejoindre

je plierai le temps comme une feuille

Puisse toujours ne les confondre

dans ce jardin aux milles formes

A ces étoiles qui se meurent

La Mer

J'aime la mer,

et la lune son coeur,

l'eau son sang,

la terre son poumon,

les rivages son sourire.

J'aime l'étoile qui fond dans ma main

et ses brulures collosses,

une fontaine fraiche,

son sein.

Attendre

Pour aller tout court

pour aller le long

je tirerai des traits

des segments de ligne

et entre j'y mettrais

des sons.

Des oisifs!! Des pensants !!

des interdits! ...des points ronds !!!!

De ceux qui fléchissent !

De ceux qui rallongent !

Pour se faire accorder les bout de lignes manquants !

elles seront alors des lignes rondes et des sons rondissant

Imagines tu le temps de la seconde !

La première est longue

La seconde gronde

entends tu la seconde appeler la troisième sur le champ

de ses cordes,

elle se fait dessiner.

Un, deux, trois..ciel !

Un, deux, trois..ciel !

nous marchions

sur nos dessins magiques

empreinte de nos doigts sur la terre,

et les enfants s'envolaient.

Un, deux, trois..ciel !

nous sautions

ensemble sue cette même terre

nos rythmes, nos battements, nos coeurs,

et les enfants dansaient.

Un, deux, trois..ciel !

nous parlions

à construire des mondes, des maisons,

des chemins et d'autres jouets encore

et les enfants révaient

Un, deux, trois..ciel !

nous aimions

nous embrasser dans cette lueur vive

de miel, de candeur et ainsi tout le jour

être enfant, les premiers !


A toi petite enfant

En Corps

J’entend encore la neige fondre

Sur le rebord de ta fenêtre

J’y ai déposé des amandes

Douces

Amères à la peau encore verte

Là ou le piano croule sous tes doigts agiles

L’opium, splendeur de ton souffle dissémine

Toutes les ombres molécules

La vulgaire acre fumé grise s’évapore.

J’entend encore la neige fondre

sur le rebord de ta fenêtre

de rires pleins, de lames de fleurs folles

à la cime des herbes, je vois tes silences

tes pauses ,des uns des quarts des autres

Quelles douce musique !!!

Encore.

L'oiseau

Il existe un oiseau qui ne sepose jamais

on dit de lui qu'il niche sur les nuages

et lorsque la fain le tréssaille

il vole en direction des étoiles

jusqu'à ce que soleil devienne point

et point étoile

A Vous

J'aurais voulu que les mots m'emportent, un peu comme ils m'ont emporté d'ou je veus écris encore et d'ou je ne reviendrai jamiais.

Mais il n'est pas de route, ni de lieu ou se rencontrer.

Non juste des étres qu'il faut aimer, qu'il faut aimer et qu'il faut aimer encore pour qu'enfin

enfin tienne à nous alors ces mots tant aimés

Il m'arrive bien quelquefois de vous lire presque de vous rencontrer mais les mots mes mots un peu des votres transformés

m'emportent et je ne sais

je ne sais je ne sais

si vos craintes, mes doutes.

Les mots . Les lettres.

en outre entre autres

Non décidément je ne sais

et je vous le dis

Oui les mots m'ont emportés.

alors !

et alors !

alors, je vous écris et je ne sais

si c'est mes doutes

ma foi

mes pensées

mais je vous le dis mes mots l'ont emportés.

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